La presse et l’imprimerie ne sont plus libres en France, internet nous donne une nouvelle bouffée de liberté.

JF MARZA

Chers concitoyens, chers amis,

Je suis né le 23 mars 2014, quand j’ai décidé, avec de nombreux Carryens, de me présenter à l’élection municipale de Carry-le-Rouet.

Cette décision a été prise car personne n’osait se mettre en avant, face aux intimidations, aux menaces de rétorsions et un clientélisme dans tous les domaines de la vie communale.

Je suis un homme libre et indépendant et seulement après un mois et demi de campagne où j’exprimais tout haut les inquiétudes de nombreux Carryens, les ancêtres de la classe politique traditionnelle ont mis en oeuvre des décennies de clientélisme contre moi. Des alliances contre-nature entre des élus ont été conclues pour me faire taire.

Je n’ai pas cédé et 20% des électeurs de la commune ont eu le courage de me rejoindre dans ce combat.

Je tiens ici à les remercier du fond du coeur, car sans eux, rien n’eut été possible.

Aujourd’hui, ces mêmes Carryens me demandent de poursuivre l’action entreprise, car il en va de l’avenir de nos enfants.

Je me suis posé 2 questions essentielles : pourquoi et comment poursuivre l’action?

Première question : pourquoi poursuivre l’action?

J’ai pu constater à l’occasion de cette élection municipale qu’il existe des citoyens en recherche de démocratie et de vérité, des citoyens qui osent braver la résignation générale au clientélisme.

La première manche a été gagnée à Carry contre “ les machines à dire oui ”, ces morts qui commandent les vivants.

Je veux renverser l’idée: “ on ne peut rien y faire ”, cette phrase que j’ai trop entendue lors de la campagne. Cela répondait à mon “pourquoi”.

Deuxième question : comment parvenir à poursuivre cette émergence de démocratie?

Nous devons semer nos idées auprès de nos citoyens qui ont, eux aussi, les mêmes problèmes de démocratie sur leur lieu de vie.

Nous devons faire connaître le plus possible nos idées et faire émerger une nouvelle génération très loin des professionnels de la politique qui, depuis des décennies, nous font vivre dans l’angoisse (perte d’emploi, perte d’identité, perte de repères familiaux, perte de justice sociale, perte de notre sécurité, perte d’avenir, perte de culture et de civilisation, perte de l’environnement, perte du lien social…).

En un mot, une désorientation totale de l’individu face à l’Etat Providence qui a pris tous nos repères pour nous protéger et qui, manifestement, a échoué.

La participation de la majorité des citoyens est nécessaire pour sortir de l’ornière où les professionnels de la politique nous ont fourvoyé.

Je ne veux pas attendre que la prise de conscience collective ne soit réalisée par des événements dramatiques.

Aujourd’hui, nous avons les moyens de nous ressaisir, c’est le sens de l’action que je compte mener. Il n’est que temps.

Venez nous rejoindre!